Les écoles du Patriarcat latin se réunissent autour d’un repas de Noël

Publié le: January 08 Wed, 2020

BETHLÉEM/RAMALLAH – Les 18 et 28 décembre 2019, comme le veut la tradition, la grande famille des écoles du Patriarcat s’est réunie pour un repas de Noël. À Bethléem, mais aussi à Ramallah, les instituteurs et employés des écoles ont pu se retrouver dans une ambiance conviviale et festive en présence de plusieurs prêtres et sœurs du Patriarcat latin de Jérusalem.

Le 18 décembre à Bethléem a eu lieu le premier repas de Noël 2019 des écoles du Patriarcat latin. L’évènement, qui s’est déroulé à l’hôtel Ararat, a réuni les différentes écoles de la région de Bethléem, région qui recouvre, outre la ville sainte, les villes voisines de Beit Sahour et Beit Jala. Dix jours plus tard, à l’hôtel Misk de Ramallah, la région centrale des écoles patriarcales qui regroupe les villes de Taybeh, Birzeit, Jifna, Ain Karik, Aboud et bien sûr Ramallah organisait à son tour son rendez-vous de Noël. Un délai qui s’explique par le décès du Père Pierre Madros intervenu le 19 décembre, jour où devait se tenir le rassemblement.

L’ensemble du corps enseignant et du personnel des écoles représentées a fait le déplacement. Le Père Jamal Khader, Directeur des écoles du Patriarcat latin en Palestine et curé de la paroisse de la Sainte Famille à Ramallah était présent à ces deux occasions. En tant qu’organisateur principal, le P. Jamal a prononcé quelques mots devant les assemblées, avant de laisser la parole à Mgr Giacinto-Boulos Marcuzzo, Vicaire patriarcal pour Jérusalem et la Palestine. Les Sœurs du Rosaire, les prêtres des paroisses concernées et toutes les personnes en relation avec les écoles du Patriarcat latin en Palestine étaient invités.

Les deux évènements se sont tenus dans un climat chaleureux et festif, ponctué par des moments ludiques. Une tombola s’est ainsi invitée au déjeuner, les cadeaux ayant été offerts à l’école et aux paroisses par les boutiques locales. À Bethléem, le repas était accompagné par le Chœur des Bergers, dirigé par Georges Salsa, musicien bien connu des paroissiens de Beit Sahour.

Pour des raisons financières, le Directeur Général du Patriarcat a été contraint de demander aux organisateurs de limiter les fêtes au strict minimum, ce qui n’a pas permis, hélas, de convier les familles du personnel des écoles.

Geoffroy Poirier-Coutansais

Déjeuner à Bethléem

Déjeuner à Ramallah